Pourquoi certains deuils sont-ils plus difficiles à traverser ?

Deux personnes vivent un deuil. L’une semble reprendre doucement sa vie en quelques mois, l’autre reste figée dans la douleur pendant des années. Pourquoi une telle différence ? Quels éléments rendent certains deuils plus longs, plus lourds, plus profonds?

Explorer cette question, c’est entrer dans une compréhension fine du lien émotionnel, de l’histoire personnelle et transgénérationnelle, mais aussi de l’invisible.

🔹 L’intensité du lien : quand l’amour devient souffle vital

Tous les deuils ne se ressemblent pas. Certains frappent le cœur comme une tempête.

• Le deuil d’un enfant, d’un conjoint, d’un parent très proche, ou d’un jumeau perdu : ce sont des liens identitaires, fondateurs, presque cellulaires.

• L’attachement est parfois si fort que la personne décédée représentait une part de nous-même. Quand elle part, c’est comme si une partie de nous s’éteignait.

• Plus le lien est fusionnel, plus le travail de séparation intérieure est profond.

Dans certains cas, l’intensité du lien est aussi symbolique ou karmique. L’autre représentait une mission, un repère, une incarnation de l’amour, du pardon ou du sauvetage. Le départ réveille alors des couches émotionnelles très anciennes.

🔹 Les deuils bloqués : mémoire transgénérationnelle et héritages invisibles

Certains deuils sont plus lourds… parce qu’ils ne nous appartiennent pas totalement.

• Il arrive que le deuil vécu soit porté au nom d’un ancêtre : un grand-père mort à la guerre, un enfant mort-né jamais pleuré, une femme oubliée dans l’arbre familial.

• Ces deuils non faits s’incrustent dans la mémoire du clan, et certains descendants, souvent sensibles, portent cette mémoire émotionnelle sans le savoir.

On parle alors de fardeaux transgénérationnels, de syndrome d’anniversaire, ou d’enfants de remplacement.

Quand le deuil s’alourdit de cette mémoire collective, le travail à faire est double : libérer la douleur personnelle et celle du système familial.

🔹 Le contexte du deuil : violence, silence et invisibilité

La manière dont une perte survient impacte aussi la capacité à faire son deuil.

• Un deuil soudain, brutal, sans explication ni adieu (accident, suicide, disparition) génère un choc profond. L’esprit ne comprend pas, le corps reste figé dans le trauma.

• Certains deuils sont tus, sans parole ni rituel. C’est le cas de :

  • IVG, fausses couches, morts périnatales

  • relations secrètes, ruptures taboues

  • pertes professionnelles vécues comme un abandon

Ces deuils de l’invisible sont souvent minimisés par l’entourage, alors que la personne endeuillée vit une véritable détresse intérieure.

Sans validation extérieure, le deuil reste non reconnu. Il ne peut pas se traverser pleinement.

🔹 Le deuil et les chakras : quand l’énergie se fige

Le deuil n’est pas qu’émotionnel. Il touche aussi le corps énergétique.

• Le chakra du cœur peut se refermer : tristesse profonde, perte de joie, incapacité à aimer.

• Le plexus solaire peut stocker la culpabilité, les regrets.

• Le chakra de la gorge porte les non-dits, les mots qu’on n’a pas pu prononcer, les larmes étouffées.

Un travail énergétique doux et profond aide à relancer la circulation : réouvrir le cœur, délier les blocages, rendre à l’âme son souffle.

🔹 Le rôle du psychopraticien quantique : accompagner le retour à la vie

Quand le deuil semble s’éterniser ou nous dévitaliser, il est sage de demander de l’aide. Un psychopraticien formé au décodage biologique, au transgénérationnel ou à la thérapie quantique peut :

• Accompagner à libérer la douleur refoulée

• Aider à identifier les mémoires héritées

• Soutenir le corps dans sa libération énergétique

• Réactiver la force de vie en nous

Il ne s’agit pas d’effacer la peine. Il s’agit de la traverser en conscience, de réapprendre à vivre avec, sans se figer.

✨ Un deuil profond est souvent un miroir d’anciennes blessures

Certains deuils réveillent toutes les douleurs accumulées du passé. Reconnaître cela, c’est déjà commencer à guérir.

Et c’est un acte de sagesse que d’oser être accompagné.e sur ce chemin, de faire de ce deuil non une fin, mais un tremplin de transformation intérieure.

💠 Ton deuil semble figé, silencieux ou trop douloureux ? 

Je t’invite à expérimenter une méditation de libération du deuil, conçue pour reconnecter à la vie. Tu n’as pas à porter cela seul.e.

✨ Et toi, qu’as-tu découvert sur toi-même en lisant cet article ? Je t’invite à partager ton ressenti dans les commentaires, car chaque expérience peut inspirer quelqu’un d’autre.

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Nathalie