Le deuil fait peur. Il dérange, il bouleverse, il paralyse parfois. On aimerait pouvoir l’éviter, l’effacer, ou faire semblant qu’il n’existe pas. Mais ne pas faire son deuil, c’est laisser une blessure ouverte dans notre vie intérieure. C’est vivre avec un poids invisible qui alourdit chaque jour un peu plus notre corps, notre cœur, notre énergie. Alors, pourquoi est-ce si important de traverser cette épreuve ? Pourquoi ne peut-on pas simplement « passer à autre chose » ?

L’intensité du lien : quand l’amour devient souffle vital Tous les deuils ne se ressemblent pas. Certains frappent le cœur comme une tempête. Le deuil d’un enfant, d’un conjoint, d’un parent très proche, ou d’un jumeau perdu : ce sont des liens identitaires, fondateurs, presque cellulaires. L’attachement est parfois si fort que la personne décédée représentait une part de nous-même. Quand elle part, c’est comme si une partie de nous s’éteignait. Plus le lien est fusionnel

Les étapes du deuil (modèle de Kübler-Ross) Le choc – Le déni – La douleur – La colère – La négociation – La tristesse – La dépression – L’expérimentation – La décision – L’intégration – La reconstruction – L’acceptation Importance de la résilience et de la reconnaissance émotionnelle Faire son deuil, ce n’est pas oublier C’est intégrer C’est retrouver une circulation d’énergie dans les chakras du cœur et du plexus solaire C’est reconnaître ce qui fut et l’aimer sans s’y a